Perspectives d’emploi Ingénieur pétrolier/ingénieure pétrolière en Colombie-Britannique

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’ingénieur pétrolier/ingénieure pétrolière en Colombie-Britannique ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Colombie-Britannique

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Modérées

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les ingénieurs/ingénieures de l'extraction et du raffinage du pétrole (CNP 21332) en Colombie-Britannique pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

  • la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de plusieurs postes
  • quelques postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
  • quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

L’offre de possibilités d’emploi des ingénieurs reste importante. Le niveau élevé de connaissances techniques requises pour occuper les postes complique les activités de recrutement. La demande des professionnels du domaine est influencée par les tendances des activités de construction et celles des grands projets d’infrastructure.

Voici quelques faits saillants au sujet des ingénieurs/ingénieures de l'extraction et du raffinage du pétrole en Colombie-Britannique :

  • environ 150 personnes occupaient un poste dans cette profession en mai 2021
  • les ingénieurs/ingénieures de l'extraction et du raffinage du pétrole travaillent principalement dans les industries suivantes :
    • architecture, génie et services connexes (SCIAN 5413) : 39 %
    • extraction de pétrole et de gaz (SCIAN 211) : 28 %
    • activités de soutien pour l'extraction minière, de pétrole et de gaz (SCIAN 213) : 21 %
    • administrations publiques provinciales et territoriales (SCIAN 912) : 7 %
  • leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
    • travail à temps plein : 83 % par rapport à 78 % dans toutes les professions
    • travail à temps partiel : 17 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • 52 % des ingénieurs/ingénieures de l'extraction et du raffinage du pétrole travaillent toute l'année tandis que 48 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 61 % et 39 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 40 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
  • 27 % des ingénieurs/ingénieures de l'extraction et du raffinage du pétrole sont des travailleurs autonomes, par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • leur répartition selon le sexe est :
    • hommes : 87 % par rapport à 52 % dans toutes les professions
    • femmes : 13 % par rapport à 48 % dans toutes les professions
  • le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
    • pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
    • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : n.d.
    • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : n.d.
    • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : n.d.
    • baccalauréat : 56 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
    • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 35 % par rapport à 12 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Légende

0 sur 5 étoiles
Indéterminées
1 sur 5 étoiles
Très limitées
2 sur 5 étoiles
Limitées
3 sur 5 étoiles
Modérées
4 sur 5 étoiles
Bonnes
5 sur 5 étoiles
Très bonnes

Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

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